Mais quant aus maisons privées, elles sont & aus villes & aus champs, par la route que nous avons tenu, sans compareison plus belles qu’en France, & n’ont faute que d’ardoises, & notament les hosteleries, & meilleur traitemant ; car ce qu’ils ont à dire pour nostre service, ce n’est pas par indigence, on le connoit assés au reste de leur équipage ; & n’en est point où chacun ne boive en grands vaisseaux d’argent, la plus-part dorés & labourés, mais ils sont à dire par coutume. Dès que M. Albin, frisé à l’enfant, souriant avec condescendance, la manche légèrement retroussée, faisant les trois saluts d’usage, entrait dans l’appartement, le cœur nous battait ; nous restions silencieux, ne le quittant pas du regard, ayant peur qu’il n’eût hâte de partir, trouvant qu’il était bien lent à édifier ses coiffures, car nous espérions lui faire raconter, pour la vingtième fois peut-être, l’aventure dont le récit nous faisait frissonner
La truffe d’été est une variété de truffes moins connue et plus douce que la truffe noire, souvent utilisée pour aromatiser les sauces, les risottos et les pâtes. Étant donné qu’il s’agit d’un champignon fragile que délicat, alors il est important d’apprendre à savoir bien la cuisiner. Nous ne contestons nullement le mérite de Médor, de Turc, de Miraut et autres aimables bêtes, et nous sommes prêt à reconnaître la vérité de l’axiome formulé par Charlet : « Ce qu’il y a de mieux dans l’homme, c’est le chien. C’est la méthode traditionnelle de cavage, longtemps utilisée par les trufficulteurs, mais elle est de moins en moins pratiquée, le chien ayant détrôné le porc ! Pourtant la truffe est facile à utiliser en raison de sa panoplie de saveur afin d’agrémenter vos plats. Les truffes sont souvent considérées comme un ingrédient de luxe en raison de leur saveur unique et de leur coût élevé. Un ingrédient de luxe, la truffe noire ou la truffe blanche est proposée à un prix parfois rebuté. Les truffes blanches sont considérées comme un ingrédient de haute qualité dans la cuisine et l’huile de truffe peut être utilisée pour ajouter une saveur forte et délicate à divers plats
« Même s’il est possible que nous soyons, en dernière analyse, tous liés les uns aux autres, la spécificité et la proximité des connexions comptent (avec qui nous sommes liés, et dans quelle mesure). Et ils concluaient : « Sans préjudice des conquêtes qu’il présage sous le rapport de la liberté, nous le tenons, au point de vue de la poétique moderne, pour un remarquable critérium. Qu’il consente un jour à s’ouvrir, montrer où il en est, ce sera pour l’unique et très satisfaite exhibition de pourriture dont il est l’écrin. La plus appréciée des truffes est la truffe blanche d’Istrie. Il est celui qui ne bande pas, qui décide les plus fiers bandeurs à ne plus bander. Or il me paraît légitime d’accuser de niaise suffisance, en même temps que de boulimie, celui qui confond l’objet avec ce dont l’objet, du fait même de ses nourrissantes vertus, a été, en lui, l’occasion. Et d’abord le renoncement même est un luxe, car, à quoi, pourrait bien renoncer celui qui ne possède rien. Bien que la naïveté confiante du regard, l’élégance naturelle, le goût des jeux violents, de la campagne, de l’hiver sous la neige, la musculature des membres, l’étroitesse des reins, l’optimisme respiratoire, la passion de la viande rouge, une gourmandise enfantine de la volupté qui ne se donnait pas même la peine de distinguer entre l’un ou l’autre sexe de ses congénères, et jusqu’à la couleur tabac blond de son tape-à-l’œil lui valussent de traduire en chien le jeune anglais champion de hockey sur glace, buveur de whisky et applaudisseur de ballets russes, je l’avais débaptisé du britannique
Mais quant au finale de l’histoire, à ce potin calomnieux de Heine, qui fournit en 1855 matière à une polémique de journaux, au procès entre Dessauer, Saphir et Heine et força George Sand à défendre Dessauer, il nous semble que d’une part, grâce à ces mêmes documents dont usa partiellement et partialement M. Sack (mais sans cette fois omettre certains passages très importants pour l’histoire et très intéressants) et d’autre part grâce aux documents inédits que nous sommes en état de lui soumettre, le lecteur jugera lui-même, et ce jugement, nous semble-t-il, ne sera pas en faveur de Heine. Cette histoire fut plusieurs fois effleurée par la presse et toujours on s’efforça d’expliquer cette rancune par des motifs matériels assez vilains. Dans les quatre volumes de la Correspondance de Heine, nous ne rencontrons pas une seule fois le nom de sa cousine, mais dans les mêmes Lettres à Henri Laube, publiées par Eugène Wolff, nous trouvons à la date du 12 octobre 1850 quelques lignes ayant trait à Mme Sand et qui paraissent assez peu amicales. Elle ne pouvait pas en croire capable son vieil ami Heine