Leçons sur la Truffes que vous devez apprendre avant d’atteindre

Les blasphèmes, des journaux rossinistes de cette époque contre Gluck, Spontini, et toute l’école de l’expression et du bon sens, leurs extravagances pour soutenir et prôner Rossini et son système de musique sensualiste, l’incroyable absurdité de leurs raisonnements pour démontrer que la musique, dramatique ou non, n’a point d’autre but que de charmer l’oreille et ne peut prétendre exprimer des sentiments et des passions ; tout cet amas de stupidités arrogantes émises par des gens qui ne connaissaient pas les notes de la gamme, me donnaient des crispations de fureur. Vous plaisantez sans doute, monsieur : ces pauvres gens qui vous inspirent tant de pitié, sont enchantés, au contraire, de trouver une occasion de gagner de l’argent, et vous leur feriez tort en la leur enlevant. Comme j’avais une promesse de l’intendant M. le baron de Lütichau, pour deux soirées, le théâtre tout entier était à ma disposition, et il ne s’agissait plus que de veiller à l’excellence de l’exécution

À l’intérieur de celui-ci : des ruelles pavées, très agréables pour une promenade, mais aussi la basilique San Frediano, la torre Guinigi, qui offre une belle vue lorsque l’on a grimpé ses 230 marches, mais aussi la place Napoléon et l’église San Michele in Foro. Dans une casserole, chauffer la crème et le chocolat blanc à feu moyen. Il eut pour successeur dans le comté de Toulouse son fils aîné, Bertrand, qui mourut 3 ans après, et qui laissa ses États d’occident à son frère Alphonse-Jourdain (V. R. VII, le Jeune, dernier comte de Toulouse, fils truffes et nos champignons séchés successeur du préc., né à Beaucaire en 1197, fut excommunié deux fois pour les mêmes motifs que son père, n’en poursuivit pas moins la guerre, triompha de Simon de Montfort et de son fils Amaury, et contraignit ce dernier après la mort de Raymond VI à traiter avec lui (1224). Mais, affaibli par une si longue lutte, il sentit le besoin de faire sa paix avec la cour de France et avec le St-Siége (1229). Il mourut à Milhaud en 1249, laissant ses domaines à Jeanne, sa fille unique, qui avait épousé en 1237 Alphonse, comte de Poitiers, frère de Louis IX. TOUMROUT ou TOMRUT (Mohammed-al-Mahdi Ben Abdallah), fondateur de la secte et de la dynastie des Almohades, né vers 1087 en Mauritanie, se lia avec Abd-el-Moumen, qui s’annonçait comme le 12e imam et le véritable mahdi, alla en 1120 prêcher la religion nouvelle à Maroc, fut chassé, puis condamné à mort, se réfugia à Tynamal, arma ses disciples, combattit sans relâche les Almoravides et étendit son pouvoir sur une partie de l’Afrique septentrionale (1122-25). Il mourut en 1130, après avoir mis Abd-el-Moumen à la tête de ses troupes

« Il est présumable qu’on n’agissait pas avec connaissance de cause, attendu qu’un pincement léger et parfois réitéré, suffit pour opérer un refoulement de la sève, lequel donne, pour le produit en tubercules, un résultat meilleur que la suppression presque totale des tiges. C’est résoudre bien facilement un problème de physiologie, assez délicat, celui de savoir si le pincement favorise la formation des tubercules autant que celle des fruits. Les pieds de Pommes de terre qui ont subi le pincement et ceux qui avaient été laissés intacts étaient toujours placés à côté les uns des autres, et j’avais même donné la meilleure place à ceux que je ne pinçais pas ». C’est ce que je ne puis dire : les uns coupaient les tiges pour essayer d’arrêter les progrès de la Maladie spéciale, d’autres parce que les tiges prenaient trop d’extension, ce qui devait nuire au produit. En 1849 et en 1850, on arracha complètement les fanes dès les premiers symptômes de la maladie ; pas une seule Pomme de terre ne fut attaquée, ni au moment de la récolte, ni ensuite dans la cave, tandis que les voisins, qui n’avaient pas procédé de la même manière, perdirent les trois quarts de leur récolte

Cependant nous le retrouvons, mais sous une autre forme, étudié par M. Quéhen-Mallet, qui semble n’avoir pas connu les expériences précédentes, et qui a publié les siennes dans le Journal de la Société d’Horticulture de France en 1868 et 1869. Notons d’abord que la question de la Maladie de la Pomme de terre a été ici laissée de côté. La grande sécheresse tardive que nous avons eue cette année a fait repousser chez nous les Pommes de terre, par deux et trois fois. Nous n’avons pas appris que ces expériences aient été poursuivies. Elle a été publiée, en 1896, par la Gazette des campagnes. C’est vers l’année 1790 qu’on essaya la culture de la Pomme de terre dans quelques métairies ; mais elle restait confinée dans les jardins ou autour des maisons d’habitation. Elle a nommé comme liquidateur son président, M Serge ROUX, 134 Rue des Salicornes 30320 POULX, pour toute la durée de la liquidation, avec les pouvoirs les plus étendus tels que déterminés par la loi et les statuts pour procéder aux opérations de liquidation

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