On appelle dans l’Inde Ère des Saces, une ère qui commence l’an 78 de J.-C. SACES, Sacæ, peuple de la Scythie asiatique, au N. de la Sogdiane, et à l’O. SABIRES, Sabiri, peuple de la Sarmatie mérid., habitait, dans les Ve et VIe s., entre le Kouban et le Caucase, et vint, vers le milieu du VIe s., s’établir sur la Desna et aux environs du Dnieper, dans le pays qui prit d’eux le nom de Sébérie ou Sévérie. Le colonel sonna légèrement, puis plus fort, puis très-fort ; – aucun mouvement dans la pièce à côté. Un peu plus loin, Condrieu ou “Coin du ruisseau”. Puis il lui abandonna les bras pour porter ses efforts plus loin. Mais les parcs, contenant cent cinquante animaux, ont des râteliers arrangés de telle sorte que cent seulement peuvent y trouver à manger ; deux râteliers latéraux pour un si grand nombre de bêtes sont manifestement trop restreints, et l’on devrait établir une mangeoire transversale qui, séparant le parquet en deux parties égales, permettrait à chaque animal d’atteindre aisément sa nourriture
Là est sa grandeur, elle ne saurait parler en prose. Elle s’élevait à trente-deux mille francs ; ils prirent le huitième de cette somme c’est-à-dire quatre mille francs. C’est encore au cuivre qu’ils doivent cette belle coloration : l’épicier les a fait confire dans des bassines de cuivre rouge non étamé, et il s’est fait de l’acétate de ce métal ; c’est ce qu’on appelle le verdet. « L’idée, c’est de reboiser des terres sur lesquelles se trouvaient des arbres auparavant tout en produisant de la truffe. Mais le plus fâcheux, c’est quand les falsificateurs s’attachent avec prédilection aux denrées alimentaires. Parmi les plus remarquables progrès de notre siècle, si fécond en découvertes, il faut assurément compter les progrès accomplis dans l’art de falsifier les alimens, de frelater les boissons, de frauder les octrois. L’art de faire des confitures est en progrès. Nous croyons devoir maintenant appeler l’attention sur ce que nous a laissé Charles de l’Escluse sur la Pomme de terre, dans un de ses derniers ouvrages, et non le moins remarquable, intitulé : Rariorum Plantarum Historia, imprimé par Jean Moretus, gendre et successeur du célèbre Plantin, produits à la truffe de haute qualité Anvers, en 1601. Il semble qu’il n’ait pas eu connaissance de ce qu’avait publié, cinq ans auparavant, Gaspard Bauhin, sur son Solanum tuberosum, ou que les retards apportés à l’impression de son ouvrage ne lui aient pas permis de modifier le chapitre consacré à ce sujet, ou bien, ce qui est plus probable, qu’il ne désirait pas entretenir de relations avec Gaspard Bauhin, car il ne cite pas ce dernier auteur
Mixez finement les oreos dans un robot culinaire. Nous baignons chaque boule dans le chocolat et plaçons les truffes à l’envers et avec le bâton à nouveau. Réfrigérer à nouveau jusqu’à ce que le chocolat durcisse. 5. Pendant que les boules sont au congélateur, faites fondre le chocolat au bain-marie ou au micro-ondes. Vous pouvez décorer avec des fils de chocolat blanc fondu, des oréos concassés, etc. 🙂 toutefois les oréos sont aussi très appréciés de mes filles ! ’air dingue et j’adore les oréos alors je vais tester! Ce fut ainsi que je commençai à me familiariser avec l’emploi de l’orchestre, et à connaître l’accent et le timbre, sinon l’étendue et le mécanisme de la plupart des instruments. LAËRTE, v. forte, sur les confins de la Cilicie et de la Pamphylie, au bord de la mer, fut la patrie de l’écrivain Diogène, dit Laërce (Laertius), ou Laërte. Ça fait une éternité que je n’en ai pas fait. Un rayon de bonheur glissa sur les traits sombres de Susquesus, lorsqu’il entendit, dans sa propre langue, un titre bien mérité qui n’avait pas réjoui ses oreilles pendant un temps aussi long que la vie ordinaire d’un homme
Former. Mélangez les biscuits écrasés avec le cream cheese (gardez une poignée de miettes de biscuits pour décorer les truffes. Une boîte de truffes non ouverte peut-elle être consommée sans danger après la date « à consommer de préférence avant le » indiquée sur la boîte ? En somme, une boite de bonbons est toujours une boîte à couleurs, – un peu sucrée. La coloration est une toilette nécessaire du beurre qu’on vend aux Parisiens : quelquefois on les a empoisonnés avec du chromate de plomb ; le plus souvent on emploie une pâte tinctoriale faite de curcuma de rocou et d’une laque verte à base de graine d’Avignon. Or il y a de faux contrebandiers ; d’honnêtes gens qui, après s’être consciencieusement fournis à la boutique officielle, démarquent le produit de l’état, arrachent le visa de la régie et vous repassent, avec les allures les plus mystérieuses, une exécrable collection de londrès achetée au bureau du coin. Renouard, 1829. On a aussi de lui une Histoire de la vie privée des Français, 1782, réimpr. On a de lui, outre de violents libelles : Histoire de Sixte-Quint, Lausanne, 1669; – de Philippe II, 1679; – d’Angleterre, 1682; – de Genève, 1686;- de Belgique, 1690; – de Cromwell, 1692; – d’Élisabeth, 1693; – de Charles-Quint, 1700. Partial et inexact, cet historien est en outre négligé dans son style et ne sait pas exciter l’intérêt